![[Test] SOMA - Nintendo Switch](/uploads/blog/posts/1755928696_2025073117225500_s_thumb.jpg)
[Test] SOMA - Nintendo Switch
Simon Jarrett, canadien contemporain, mène une vie tranquille avec sa femme quand un accident de la route tragique le laisse veuf et handicapé par de graves lésions au cerveau...
Lire la suiteLes tests et unboxings de manettes de Chromabox vous avaient manqués ? Grâce à Blade et Maximum Entertainment France nous avons le plasir de vous proposer un déballage en règle complet ainsi que notre opinion sur une nouvelle venue !
Blade, anciennement FR-Tec, est un constructeur de périphériques gaming Espagnol, faisant partie de la famille Maximum Entertainment (anciennement Just For Games). Si je ne connais pas Blade, ni de visu, ni de réputation, je sais que Maximum s’entoure en général de partenaires de qualité.
Blade a récemment lancé une gamme de produits pour consoles (particulièrement Switch), PC, mobile et Steam Deck, autour de la licence Dragon Ball (DB et DBZ), avec : des casques, pochettes/étuis de protection Switch 2, ainsi que des manettes.
Aujourd’hui nous allons nous intéresser au modèle sans-fil de manette à l'effigie de Dragon Ball, avec un petit unboxing et retour d’utilisation comme vous les appréciez habituellement !
La manette est donc emballée dans une boite carton “classique”, qui tranche avec certains constructeurs utilisant du plastique moulé (habituellement relou à ouvrir).
Ici donc, aucun moyen de visualiser en rayon l’aspect réel de la manette, il faudra donc faire confiance au visuel présent sur la face avant. Ce dernier, ainsi que d’autres éléments, sont mis en avant avec un vernis sélectif et le logo Dragon Ball (Licence officielle Toei animation).
C'est un déluge de couleurs !
La compatibilité annoncée est large : Switch, Android, iOS, SteamDeck et bien entendu PC/Mac. Pas de mention pour la Switch 2 mais nous ne manquerons pas d’essayer (nous mettrons à jour l'article dès que possible) !
Les tranches latérales de la boite reprennent des illustrations de Dragon Ball : Songoku, Krilin, Tortue Géniale, ainsi que la maison et l’île de ce dernier.
Ils ont l'air plutôt heureux d'être là !
Que de souvenirs de cet endroit...
Au dos, nous est décrit en détail et dans plusieurs langues les différentes fonctionnalités de ladite manette : Bluetooth, éclairages led, batterie rechargeable intégrée, gyroscope 6 axes, fonction Turbo. À cela, on ajoutera le support des vibrations classiques (pas HD) via deux moteurs et contre-poids.
C'est donc une DB1001 !
À l’intérieur se trouve une “enveloppe” noire en papier cartonnée de qualité. C'est un peu là pour faire monter le suspense ou donner un sentiment de premium au produit.
Sympa, mais nous on veut voir la manette !
Dans celle-ci se trouve notre manette, un câble USB-A vers USB-C d'environ 1,20 m, un manuel en anglais, espagnol, catalan et portugais, ainsi qu’une carte de remerciement. Pour les autres langues, un lien vers la documentation en ligne est fourni.
Veuillez pardonner notre éclairage peu optimal pour cet unboxing, on fera mieux la prochaine fois, promis.
Le visuel du carton n'était donc pas trompeur ! C'est flashy et taille réelle s’il vous plaît !
Dotée d’une coque translucide orange, ma couleur préférée en plus... elle se présente avec un form factor très similaire à un Pro Controller ou un pad Xbox One/Series.
On est réellement sur un facteur de forme très standard
Relativement légère côté poids avec 204 gr (batterie comprise). C’est moins que ces deux derniers avec respectivement 249 gr et 242 gr (sans piles qui-plus-est !).
Là encore, elle se fond dans la masse côté apparence des gâchettes.
La sérigraphie Dragon Ball est ultra-propre et semble protégée par une couche de vernis, car aucune différence de niveau ne se fait ressentir entre les parties translucides et celles imprimées.
Cela devrait en théorie résister aux assauts de la sudation inévitable de vos mains...
Côté boutons, on se retrouve avec les classiques A, B, X, Y, +, -, Screenshot, Home et un bouton Turbo. Pas de palettes supplémentaires au dos comme c’est parfois le cas sur d’autres modèles. Pour ma part, c'est tant mieux, car je ne les utilise jamais, et ça me gêne plus qu’autre chose, surtout sur la Rog Ally.
Je regrette simplement l'absence de couleurs sur les lettres A, B, X, Y. Certainement pour ne pas "perturber" les visuels et rester sobre.
Les premières impressions sont bonnes (et on reviendra en détails sur chaque aspect) :
Globalement, tout tient très bien en place, pas une once de flottement, et une sonorité feutrée dans la moyenne.
Au dos, on appréciera de pouvoir contempler le circuit imprimé ainsi que les moteurs et la batterie (non soudée, qui semble facile à remplacer, avec un connecteur amovible).
Globalement la qualité d’assemblage et des matériaux donnent confiance !
Pour synchroniser la manette avec une Switch, PC, téléphone, Steam Deck, Rog Ally, etc. il suffit d’appuyer en même temps sur Y et Home. Les indicateurs lumineux balayent rapidement et l’appairage est quasi instantané.
La manette est reconnue comme une Pro Controller par la Nintendo Switch et il est possible de jouer sans fil pensant que la manette est en charge via son câble USB-C et un adaptateur secteur.
Pour tenter de couvrir un panel large d'usages, j’ai testé plusieurs types de jeux : course, FPS, plateforme, puzzles, Survivors like... ce qui m'a permis de mettre à l’épreuve à la fois les sticks, mais aussi le d-pad et les gâchettes.
Les sticks sont très sensibles et précis grâce à leur bonne résistance. Sans réglage, il vous faudra un petit temps d’adaptation pour certains FPS (tir subjectif) comme Bullet Storm, très sensible de base. Sur d’autres jeux comme Quake II, Minecraft ou Portal 2, la sensibilité par défaut est déjà bien plus adaptée et ça se passe sans accrocs. N'hésitez pas à ajuster les paramètres dans vos jeux en fonction de la vitesse de rotation attendue.
Sur les jeux de course, la prise en main est naturelle et la direction se fait avec précision. Burnout Paradise, Wreckfest ou encore Grid Autosport semblent être parfaitement calibrés pour cette manette. À n'en pas douter, Mario Kart est de loin le jeu le plus agréable à ce niveau.
J'ai pu jouer quelques heures à Vampire Survivors dans le plus grand des conforts, alternant comme à mon habitude, usage du stick gauche puis du droit (pourquoi ne font ils pas ça sur tous les jeux quand c'est possible ???).
La zone morte des sticks est très correcte. On n'observe pas de décalage dans l’action ni de déclenchement brutal d'une direction, ce qui change de certaines manettes bon marché. L’outil de calibrage de la Switch confirme cela : la course des joysticks est régulière et homogène dans toutes les directions, sans hésitations. Les zones mortes sont très resserrées, c’est du tout bon !
À part dans les menus, je ne l’utilise que très peu la croix directionnelle. Outre pour les jeux de combat d’époque et puzzles type Picross, je n’en ai pas trop d’idées d’usages.
Pour ces derniers cela se passe très bien, les diagonales ne sont que rarement prises accidentellement, cela pourrait être plus précis, mais reste correct en regard de ce qui existe. Goût personnel : j’aurais préféré que le d-pad soit un peu plus “clicky” car j’ai énormément l’habitude de la "croix" Xbox Series et des boutons remplaçants celle-ci sur Switch !
Les gâchettes disposent d'une course assez longue et le point d’appui réel ne me semble pas clair, d’autant que R2 demande légèrement plus de force que L2 pour se déclencher.
Possible que cela soit un défaut lié à mon modèle de test, mais c’est un peu contraignant pour les appuis prolongés dans les jeux de course, où on aura tendance à lâcher par mégarde l’accélérateur. Idem sur du FPS pour le déclenchement des tirs, ou encore sur des jeux de flipper comme Zaccaria Pinball, demandant de la réactivité, où l’on préfèrera utiliser L1 et R1 qui sont un peu plus "directs". Petit bémol donc à ce niveau...
Il n'est pourtant pas si compliqué de faire de bonnes gâchettes (non analogique qui plus est) en 2025.
D'autant qu'elles ne flottent pas et sont de forme agréable.
Aucune latence particulière n'a été relevée, tout est “instantané”. Je n’ai pas constaté de déconnexion intempestive ou “trous” dans les signaux que la manette envoie. De ce côté-là, c'est 100% stable, contrairement à ma Pro Controller qui elle n'apprécie pas beaucoup les "interférences" d'autres manettes et appareils à proximité et décroche de temps en temps.
Tout comme les manettes de la marque Nacon et PDP, les vibrations sont très puissantes de base, cela peut devenir fatiguant ou provoquer des fourmillements à la longue. Heureusement, en appuyant simultanément sur L1+L2+R1+R2 on peut choisir entre 100%, 70%, 30% et désactivé. Je n’ai pas vu de différences entre 100% et 70%, j’ai donc réglé sur 30% et c’est parfait, on est sur un ressenti similaire à un pad Xbox Series ou Dual Shock 4, beaucoup plus doux.
Très bon point pour cette manette, et son poids ne le laissait pas préfigurer, mais l'autonomie est excellente, on doit facilement s'approcher des 7 à 8h avec les vibrations actives et les leds allumées de temps en temps (et encore, je préfère recharger avant que la batterie ne soit raide).
La rapidité de charge est au rendez-vous avec le support du protocole Power Delivery sur son port USB-C. (Comptez une bonne heure pour la remplir avec un chargeur adapté).
Je n'y avais pas prêté attention au début, mais la manette est munie d’un bandeau lumineux led RGB qui fait le tour de celle-ci par l'intérieur. Vous pouvez l'activer grâce au discret bouton en forme de soleil se trouvant sous le stick gauche (impossible de cliquer dessus par mégarde, ce qui est bien).
Le bandeau oscille entre plusieurs couleurs dont l’orange, le jaune, le vert et le rose, avec une intensité qui change graduellement façon “respiration”. Les couleurs sont harmonieuses et pastels, et se mélangent plutôt bien quand il y en a plusieurs à la fois. Afin de “fixer” l'éclairage dans un état donné, appuyez de nouveau sur le bouton. Enfin pour désactiver, appuyez une troisième fois.
Évidemment, cette fonction affecte l’autonomie, mais que voulez-vous, parfois jouer avec style n'a pas de prix... et c’est très sympa pour embellir les posts Instagram de gaming room =)
Fonctionnalité que je n’utilise jamais, le turbo aurait très certainement son utilité sur des jeux de type ACA Neo-Geo, d’autant que sa rapidité est réglable. Attention à ne pas l’activer par mégarde en tentant de faire un screenshot, le bouton se trouvant de l’autre côté, ce qui est inhabituel.
Pour le désactiver complètement, laissez le bouton turbo enfoncé 5 secondes et la manette vous indiquera visuellement et via vibration que c’est effectif.
Bon point, la manette ne s’éteint pas quand un jeu demande de sélectionner les pads à activer (L+R). Sur une manette 8bit-do SN-30 que j’avais possédé il y a quelques années, c'était très lourd de rallumer la manette et attendre qu’elle se synchronise à chaque fois.
La manette s’éteint automatiquement dès que la console passe en veille (ou peu de temps après) ou lors d’une non-utilisation prolongée. Sympa étant donné que j’ai vidé la batterie de mon Pro Controller plusieurs fois bêtement, car il ne s’éteignait pas seul.
Cette manette sans fil Bluetooth de la marque Blade, à l'éffigie des héros de Dragon Ball propose quelques atouts sympathiques !
Tout d'abord, sa qualité d'assemblage, son design et sa personnalisation sont soignés, ensuite, elle propose toutes les fonctionnalités que nous sommes en droit d'attendre d'un pad pour Switch, PC ou mobile : vibrations, gyroscope, boutons de fonctions et mode turbo, avec une bonne ergonomie générale.
Les sticks analogiques sont agréables et d'une très bonne précision, avec une zone morte très bien calibrée, les boutons sont réactifs et confortables. La croix directionnelle est quant à elle dans la moyenne de ce qu'il se fait, bien, mais sans plus. On regrettera juste qu'elle soit un peu molle, tout comme les gâchettes (non analogiques) qui manquent de précision.
L'autonomie et le temps de recharge sont excellents, tout comme la connectivité sans faute ni latence.
Le seul regret que nous pourrions avoir est le tarif (39,99 €), légèrement au-dessus de la moyenne pour une manette entrée/milieu de gamme, toutefois la licence Dragon Ball de notre enfance et l'éclairage RGB sont de très bons atouts qui peuvent faire pencher la balance en sa faveur.
Des sensations plus franches sur les gâchettes
Manettes de la marque PDP, Hyper X, Nacon...
Nous remercions Blade et Maximum Entertainement France qui nous a fourni un exemplaire de test
Acheter sur Amazon
(Lien affilié)
Simon Jarrett, canadien contemporain, mène une vie tranquille avec sa femme quand un accident de la route tragique le laisse veuf et handicapé par de graves lésions au cerveau...
Lire la suiteTetra's Escape 2 est un jeu de plateforme et puzzle créé par le studio français ABX Games. Il s'agit de la suite directe de Tetra’s Escape, sorti en 2018, sur PS Vita notamment... Dis donc, cela ne nous rajeunit pas tout ça !
Lire la suiteAujourd'hui, nous allons nous intéresser à un accessoire inédit dans les colonnes de Chromabox, avec un microphone qui ravira certainement les fans de stream, chat vocal, podcasts et plus généralement les gamers. Le CM769 de chez UGREEN
Lire la suiteMotoGP, toujours développé par le talentueux studio Milestone, que l’on ne présente plus, débarque cette année en édition 2025, proposant une expérience symétrique avec la réalité du championnat MotoGP 2025 !
Lire la suite
0 Commentaires
Il n'y a pas de commentaires pour l'instant