Milestone / PLAION - Switch / PlayStation 4 / PlayStation 5 / Xbox One / Xbox Series / PC - 20 Go - Sous-titres voix et interfaces en français - Durée de vie minimale : 20h
Avertissement : jeu exclusivement testé en mode arcade et en solo.
MotoGP, toujours développé par le talentueux studio Milestone, que l’on ne présente plus, débarque cette année en édition 2025, proposant une expérience symétrique avec la réalité des championnats MotoGP 2025 pour les classes Moto3, Moto2 et la catégorie reine MotoGP. Cela passe par des livrées, des tenues, des pilotes, leurs numéros, les règlements… conservés à jour au plus près de la réalité du terrain.
Cette année, vous pourrez faire le choix d’opter pour une expérience full simulation appelée sobrement “Pro” qui sera dans la continuité de ce que propose le jeu au fil des ans (extrêmement complet et affiné avec les retours des joueurs), ou bien vous faufiler sur le mode “Arcade”, plus "digeste" et véritablement forgé pour les personnes qui veulent profiter du meilleur de MotoGP facilement.
C'est aussi le premier épisode à employer le moteur de jeu Unreal Engine 5, à proposer des améliorations du son avec de nouveaux enregistrements en partenariat avec les constructeurs et équipes. Enfin, nous aurons droit à de nouveaux petits à-côtés qui risquent bien d'ajouter un peu d'attractivité supplémentaire.
Enfourchons vite notre monture et découvrons si MotoGP est au rendez-vous de ses promesses !

J'ai l'air super serein et déterminé là, non ?
Je suis venu pour l’arcade
Un des gros reproches fait à MotoGP depuis de nombreuses années est sa difficulté de prise en main et l’investissement conséquent que le joueur doit faire pour arriver à maîtriser puis parfaire son pilotage. La Moto est une discipline assez complexe à penser et transposer en jeu vidéo si l’on veut garder la composante simulation tout en étant agréable manette en main.
Cela tombe bien, après plusieurs années à me refaire la main à chaque opus, et après plusieurs tentatives de Milestone, plus ou moins réussies, pour rendre le jeu accessible, je me suis glissé dans la peau d’un novice qui privilégierait le mode arcade qui est une des grosses nouveautés cette année.
D'habitude, avec les simulations moto, il faut se rendre à l’évidence, pour un joueur de jeu de course auto comme moi, il y a une phase non négligeable d’adaptation et d’apprivoisement. Cela commence avec une prise en compte de l’inertie de la direction, inhérente à la moto et la physique du jeu. Les courbes doivent être bien plus travaillées et anticipées également (dur pour quelqu’un qui passe son temps à drifter). Enfin, les points de freinage et la position du pilote, jouent un rôle crucial dans le passage des virages. Je ne dis donc pas non à un petit coup de pouce…

Difficile de faire plus simple côté commandes. La phase "tuto" initiale semble se dérouler sans accrocs, c'est bon signe.
Je suis resté pour l’arcade
L’avantage considérable du mode Arcade est que l’on n’a plus qu'à se soucier de trois choses… Accélérer, freiner, tourner. Pas de gestion précise des gaz, pas de roue arrière qui décroche irrémédiablement si exagère sur la poignée de droite, pas de gestion de l’équilibre du frein avant arrière, pas de roue avant qui se dérobe si le freinage est trop brutal en courbe et surtout… pas de peur de perdre l’équilibre ou de se viander quand on mord les accotements… Cela laisse potentiellement beaucoup plus de place au cœur du gameplay et à la concentration sur le tracé et les adversaires !

De quoi se laisser enfin tenter par la vue interne, pour plus de sensations
Quel que soit le jeu de course, ma grande crainte est habituellement de rouler sous la pluie, surtout que comme par hasard cela intervient après des essais et qualifications sur le sec… Je n’ai pas été déçu de voir que premièrement, la gestion de la météo et de la pluie est juste magnifique, sous tous les angles (proche de ce qui se faisait dans la franchise F1), mais que cet aspect, autrefois frustrant, devient très intuitif et “facile”. En effet, le jeu devient très prévenant avec les limites de la machine et de son adhérence, qui sont repoussées au-delà de la réalité. Si vous effectuez un virage tardif très appuyé sur les freins (ce qui arrive régulièrement au début), la moto se mettra à danser de plus en plus fort de l’arrière, vous avertissant que la glissade approche à grand pas, vous avez largement le temps de redresser légèrement ou lâcher un peu les mâchoires pour que l’équilibre soit instantanément retrouvé.

L'arrière chasse un peu sur une grosse reprises de gaz ? Le point de non retour est encore très loin !
Même si le mot "arcade" est un abus de langage et que nous ne sommes pas sur un gameplay à la Hang On GP ou encore ManX TT Superbike, on a trouvé un juste milieu qui affranchit le joueur de ce qui bride le plaisir quand on n’est pas fan inconditionnel de simu. La machine ne donne pas l'impression d'être guindée, les sensations restent excellentes et assez proches de ce que j'ai pu expérimenter sur Ride 3. On se sent soutenu, sans avoir l’impression que le jeu joue à notre place, et c’est sur ce point que Milestone a très bien joué par rapport à ses essais précédents ! (il y avait eu la tentative des "aides neurales" en 2022).
Pour le coup, c’est la première année où je ne passe pas le plus clair de mon temps à effectuer des rewinds (il y en a eu, mais c’était davantage lié à la méconnaissance des circuits et à la prise de screenshots ^^').
Carrière pantouflarde
Démarrer tranquille en Moto3, jouer les dur en Moto2 ou se hisser directement sur la catégories reine MotoGP... Vous avez le choix dès les premiers instants ! Il en est de même pour l'activation des transferts sur le marché, le suivi du calendrier officiel à la lettre ou de manière condensée... Pour le coup, rien n'est imposé et seul votre esprit aventurier (ou conservateur) est aux commandes.
Choisissez une écurie, un constructeur ou bien encore une moto à sa livrée... et c'est parti !

Bah quoi, il y en a bien qui achètent des jeux à la jaquette...
Le mode arcade n'agit pas que sur la piste, la gestion de la carrière s’en voit également grandement simplifiée avec une concentration sur les courses et les petits à côtés funs. Votre seule tâche complexe sera d'apprendre les tracés, et pour cela rien ne vaut la pratique… les séances d’essai et qualifications étant amplement suffisantes pour cela. Si vous faites un très bon temps en phase d’essai, vous voici propulsé directement en Q2 (deuxième séance de qualif) puis en course. Pas besoin de choisir les pneus, régler les arrêts au stand ou reprogrammer la carto moteur, MotoGP se charge de tout et vous laisse libre de raccourcir à l'avance les courses afin qu'elles ne soient pas interminables...
Les courses sont agréables et donnent la sensation que le jeu est juste avec vous. Les IA sont combatives mais vous laissent une certaine marge de manœuvre. Faire une faute ou deux et prendre quelques trajectoires malencontreuses ne sera pas définitivement pénalisant. Au passage, le rewind (infini) restera des plus salvateurs pour revenir en arrière sur de gros cartons ou loupés magistraux. Impossible ou presque donc de ne pas finir une course.

On ne loupe pas l'occasion de dégainer le mode photo, histoire d'immortaliser certaines postures de crash...
Globalement, il n'est pas difficile de finir dans le trio de tête… et il ne faudra pas s’en vouloir si ce n’est pas le cas, les débuts sont forcément plus difficiles, avec une machine aucunement optimisée, lente à faire pivoter et aux freins rincés… Cela s’améliorera grandement par la suite.

C'est qui le boss ?
En fin de week-end de course, on récapitule un peu ce qui s’est bien passé ou non et les points éventuels d’amélioration avec une sorte de dialogue à choix multiple avec l’équipe technique. C’est bien plus direct et moins fastidieux que de gérer soi-même les améliorations des motos et ne pas forcément agir sur les bons réglages en fonction de nos attentes.

On gagne effectivement d’une course sur l’autre, en maniabilité, stabilité, freinage et puissance, à mesure que l’on échange et que l’équipe se charge de rendre votre bolide “parfait”. Plus on avance dans la saison, plus on ressent une certaine exaltation dans le pilotage et les parcours, que l’on ait choisi de faire absolument toutes les courses, ou seulement une sélection (saison rapide).

Avoir les infos mais ne pas avoir à gérer les détails, c'est exactement ce que je veux. Faut savoir déléguer dans la vie !
En fin de course, nous avons également la partie “réseaux sociaux / chat de groupe” avec les autres pilotes, qui diffusent sur leur mur des messages plus ou moins assassins enjoués à votre encontre. Là aussi, vous pouvez décider de répondre en brossant dans le sens du poil, attiser les flammes en jetant encore plus d’huile sur le feu, ou bien ne pas répondre du tout.

De toute façon ils sont toujours ronchons... peut être parce que je les pousse souvent. Vieux réflexe de Road Rash sur Saturn ça !
C’est aussi l’occasion de voir si les défis de rivalité que l’on s’est donné sont en bonne voie pour se réaliser. Ceux-ci sont accessibles et ne demandent là encore pas d’être forcément tout le temps premier… Il faut accepter de ne pas être le champion incontesté immédiatement. De nouveaux défis sont proposés régulièrement au fil de la saison.
Votre vision de carrière, c'est la rivalité ? les contrats ? le prestige ? MotoGP 25 vous donne le choix de l’orienter comme bon vous semble à plusieurs moments avec le système "Turning point" qui existe depuis quelques années maintenant.

C'est un peu accessoire à mes yeux, mais au moins il y a quelque chose qui participe à la scénarisation dynamique du jeu.
Se changer les idées
Cette édition 2025 inaugure une nouveauté qui nous sort un peu des circuits... pour nous plonger dans d'autres... ^^'.
Race Off permet de se détendre entre deux courses de championnats avec des disciplines alternatives comme le mini-bike (sur piste de karting), le flat track (sur terre avec des engins cross hybrides et aucune bosse), ou (super)motard. Cela se joue sur deux environnements différents et très réussis... et sur quatre tracés.

L'impression d'être à la fête forraine bat son plein... ça divertit !
Si je loue l’idée, et la diversification que cela apporte, le gameplay m’a paru un poil brouillon sur ces épreuves-là, avec des motos peu jouables quand on est habitué à nos grosses 1000cc, des circuits un peu étriqués pour vraiment se lâcher et des adversaires qui eux maîtrisent vraiment.

Ahhh l'air frais des Alpes, ça donne envie de rejouer à Drive Club tiens !
Y participer, même perdant, améliore diverses aptitudes du pilote au fil des manches et fait gagner quelques goodies (équipements, tenues...) et réchauffe un peu les relations avec vos opposants.

...C'est que c'est bon l'air de la montagne aussi !
En période des transferts, vous pouvez opter pour une nouvelle écurie ou bien rester fidèle. Des essais officiels vous permettent de valider (facilement) votre transfert.

Allez, on change de couleur !
En dehors de la carrière, vous pouvez revivre tout ce qui en fait l'essence et bien plus encore avec les Grand Prix, Championnats et contre la montre, plus les trois types d'épreuves Race Off, ainsi que le multi local en écran scindé et en ligne. La personnalisation est toujours aussi poussée et complète avec la possibilité de créer un pilote unique doté d'une apparence corporelle, un casque, une tenue, un numéro, et des autocollants bien à vous.
UE5 à la technique
Graphiquement il n’y a rien à redire, nous sommes dans la continuité de ce que proposaient les opus précédents et il est vraiment agréable de constater que le jeu est très bien optimisé et tourne parfaitement sur une simple PS4 Slim.
La gestion de la lumière, particulièrement réussie, rend MotoGP 25 plus réaliste qu'il ne l’a été auparavant. C'est réussi autant en plein jour, quelle que soit l'heure, que la nuit ou que lors d’épisodes pluvieux. Milestone a su régler les curseurs d’Unreal Engine 5 et de la technologie Lumen à la perfection.

On ne tombe justement pas dans l'excès avec une gestion des lumières qui se veut plus réaliste que spectaculaire
De même, les distances d’affichages sont impressionnantes, tout en gardant les détails lointains nombreux et des accotements fournis. On sent que le moteur et la surcouche “Made in Milestone” ont réellement été peaufinés, maîtrisés et optimisés.

Franchement, ça fait une belle carte postale...
Les (très) nombreux circuits officiels sont extrêmement bien rendus et détaillés, que ce soit visuellement ou au niveau ressenti, au plus proche de l’asphalte en course. J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à les (re)découvrir et tenter de les maîtriser. C’est tellement satisfaisant de trouver les vitesses et trajectoires parfaites, mais aussi de jouer avec les limites en évitant d’alerter les stewards (commissaires de course). Sur ce point, c'est un sans faute.

Les détails fourmillent et surtout, on n'a pas l'impression de progresser dans un environnement figé.
Beaucoup d’éléments sonores, visuels et d’animations sont repris comme chaque année, mais plus loin qu’un simple reskin, on sent que des petits détails çà et là ont été ajoutés pour peaufiner la recette. Des détails d’animations sont présents en course, par exemple un rival qui va se retourner sur les longues lignes droites si vous arrivez à toute bombe derrière lui… ça ne semble être rien, mais ce genre de petits trucs mis bout à bout enrichissent l’immersion.
Du côté du son, il paraît que tout a été réenregistré (d'ailleurs, tous les studios communiquent sur ça lorsqu'un nouvel opus de leur titre phare sort : Forza, Gran Turismo, WRC, etc.). Pour ma part, je n’ai rien constaté de spécial, c’était déjà très bon avant, ça reste parfait, à part les bruits de pétrolettes des moteurs contemporains… mais ça les développeurs n’y sont hélas pour rien.

Ahhh le "brouhaha" des départs, des motos qui nous frôlent... ça fait plaisir quand même.
On regrettera cependant de constater pas mal de recyclage au niveau des transitions et plans caméra hors course, des modèles et PNJ, qui sont quasi toujours les mêmes d’une année sur l’autre, la seule et unique musique lancinante qu'il faudra penser à renouveler un jour.
Côté bugs, il n’y en a qu’un seul qui a été vraiment gênant et que je n’ai rencontré que deux fois, au moment où la pluie commence à tomber en pleine course, il est arrivé que l’écran soit entièrement rempli de gouttes d’eau instantanément, rendant impossible la continuation de la course. Seul moyen de s’en débarrasser, effectuer un petit rewind et patienter quelques secondes que cela disparaisse.

Visière option verre granité :D
Il arrive également que des textures apparaissent en basse résolution, par exemple quand on se rapproche très près de notre protagoniste, lors de l’affichage de la caméra embarquée de victoire après la ligne d’arrivée. J’imagine que ce sont des compromis qui se justifient sur la version PS4 pour qu’elle conserve un nombre d'images par seconde constant et élevé.
Difficulté et durée de vie
Comme évoqué plus haut, MotoGP 25 est certainement l’opus récent le plus facile à prendre en main de toute la franchise. Il facilite non seulement le pilotage de la moto sur piste, mais aussi le pilotage de votre carrière et des coulisses. Nul besoin d’être un aficionado déterminé pour prendre beaucoup de plaisir à piloter (pas sans un minimum d’investissement, cela va de soi).
Pour ceux qui découvrent vraiment la Moto avec cet épisode, des tutoriaux et la "MotoGP Academy" sont un excellent moyen de gagner en confiance et s’approprier cette discipline. Elle a également un intérêt certain pour les pros.
Pour revenir sur les IA, elles sont très douées et s’adaptent bien à votre niveau. Lors des tests, qualifications et courses, il y a une bonne homogénéité des temps. Vous serez par ailleurs ravis de faire des tours sous la pluie, car elle aura du mal à tenir le même rythme que vous.
Toutefois, ne les prenez pas pour des idiotes, elles ne se contentent pas de suivre leur ligne, et n'hésiteront pas à élaborer des stratégies en course, comme vous laisser tranquillement prendre confiance le temps de quelques tours puis envoyer la sauce et tout donner sur les derniers tours, ne vous lâchant pas d’un centimètre et vous forçant à retarder parfois dramatiquement vos freinages.

Hey, laissez-moi respirer un peu !
Ce qui amène à un petit bémol : il arrive que des IA vous foncent dessus en virage si vous avez le malheur de ne pas tenir le rythme ou d'avoir une trajectoire qui n'est pas optimale, avec comme conséquence chutes et autres bacs à gravier... À sa décharge, elle fait également des erreurs d'appréciation dans son pilotage, ce qui la rend moins "systématique" et inflexible sur ses trajectoires et son rythme.
De nombreux trophées sont à récolter, beaucoup demanderont de la sueur… ne vous étonnez pas de finir votre (vos) carrière(s) sans en avoir décroché des dizaines.
En conclusion
Cette année, j’ai enfin pu profiter d’un MotoGP en mode détente, sans le stress de la recherche et développement, ni d’un pilotage penché à outrance du côté de la simulation… et c’est rafraîchissant de pouvoir se concentrer sur l’essentiel. Un gameplay précis, qui tend une fois de plus vers l'accessibilité, des environnements magnifiques, une bonne immersion, des adversaires à la hauteur et des petits à côté stimulants qui brisent la monotonie des saisons.
Cette année, Milestone s'approche de nouveau un peu plus de la part de son public qui n'est pas là pour la simulation, et si je loue l'effort considérable de cette année, je pense qu'il reste encore un peu de marge de manœuvre pour arriver à un titre 100% jouable par un très grand débutant ou même un public plus jeune.
Extrêmement complet, tenu à jour avec la saison 2025, il ne manque pas grand-chose pour nous emporter progressivement du côté simulation de la force. On regrettera juste que les tentatives documentaires comme ça avait été le cas en 2022 pour "Le Docteur" Valentino Rossi n'aient pas trouvé de suite. Une portion de jeu ludique et un peu plus encyclopédique comme on peut le retrouver dans certains titres de course ou une des références auto, Gran Turismo, aurait été un sacré plus permettant de justifier la cinquantaine (soixantaine sur certaines consoles) d'euros demandés.
Quoi qu'il arrive, le cœur, comme l’enrobage, sont soignés et c’est avec plaisir que je continuerai à y jouer de régulièrement, sur les divers niveaux de discipline MotoGP à disposition et pourquoi pas faire la chasse à quelques trophées !

Allez j'y retourne !
Verdict :
- Une maniabilité qui a fait un bond en avant
- Le mode arcade qui réconcilie les joueurs non simu
- Des graphismes très homogènes et réussis
- Pouvoir se concentrer sur l'essentiel et laisser le jeu décider
- Sons de très bonne facture
- Contenu exhaustif
- Mode Race Off qui nous change un peu d'air
- Les IA parfois en mode Road Rash
- Encore un peu trop de lourdeur et d'inertie
- Encore trop de recyclage
- Maniabilité en Race Off perfectible
Le Race Off est une bonne idée, à creuser, développer et diversifier !, Une partie "encyclopédique" sur les pilotes, constructeurs, écuries, circuits...
Franchises MotoGP, Ride et MXGP, RIMS Racing, TT Isle of man, TouristTrophy, Road Rage (bon...)
Les yeux (Graphismes)
|
9/10 |
Les oreilles (Musique, ambiance, sons) |
8/10 |
Les mains (Gameplay, accessibilité) |
8/10 |
La plume (Histoire, scénario, immersion) |
7/10 |
La patience (Durée de vie) |
7/10 |
Le porte monnaie (Rapport qualité / prix) |
7/10 |
Le coeur (Coup de cœur) |
9/10 |
Total : |
7.9/10 |
Fiche technique :
- Genres : Course, Moto, Simulation, Arcade
- Développeur : Milestone
- Editeur : Milestone
- Distributeur : PLAION
- Nombre de joueurs : 1 à 2 joueurs (hors ligne, en écran splitté), 1 à 12 en ligne.
- Français : menus, sous-titres, voix
- Moteur : UE5
- Plateformes : PS4, PS5, Switch, Xbox One, Xbox Series, PC
- Testé sur : PS4 Slim
- Prix : 49,99 à 69,99 €
- Versions testées : 1.0.3 à 1.0.6
- Taille : 20 Go
- Date de sortie : 30 avril 2025
- Dispo en : Physique et numérique
- Magasins : Switch, Xbox, PS4, PS5, PC
Nous remercions PLAION et Milestone qui nous a fourni une copie de review du jeu
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