[Test] Hot Wheels Unleashed 2 Turbocharged

Milestone / Mattel / Plaion - Switch / PlayStation 4 / PlayStation 5 / Xbox One|Series X - 745 Mo - Sous-titres et interfaces en français

On prend les mêmes et on recommence ?

Après un premier épisode efficace et rafraîchissant (lire notre test), la série Hot Wheels Unleashed, produite par Milestone et distribuée par Plaion, nous revient deux ans après avec une suite nommée sobrement : “Turbocharged”, disponible en édition physique (voir notre unboxing) et dématérialisée.

Si Unleashed premier du nom m’a particulièrement enthousiasmé, c’est que l’effet de surprise était là avec un jeu inattendu, extrêmement complet, très jouable et surtout vraiment beau. Ce nouvel opus se contentera-t-il de faire le strict nécessaire pour mériter son “2” ? ou nous fera-t-il carrément oublier son prédécesseur ? À vos tapis de jeu, préparez vos miniatures, c’est parti !

Souvenirs du premier opus sur Nintendo Switch, déjà très quali.

 

Toujours bien reçu

De manière classique, Hot Wheels Unleashed 2, nous accueille chaleureusement avec une mini phase de configuration assez complète, accompagnée d'une offrande de six bolides prêts à être déballés et pilotés. Ahhh, ils connaissent les bonnes manières chez Milestone !

Il y en a pour tous les goûts, de la muscle car, du monster truck, du quad, de la moto, et de la petite bombinette de course.

Une séance tuto emboîte le pas et nous explique les rudiments du gameplay (ou nous remet dans le bain, c'est selon). Dans tous les cas, il sera bénéfique pour tous car quelques petites additions notables ont fait leur apparition…

 

Chérie j’ai rétréci les carrosses

Hot Wheels Creature Rampage est le doux nom donné à la nouvelle campagne du jeu. Nouveauté intéressante, nous sommes immédiatement injectés dans une histoire scénarisée sous forme de cases manga / BD animées, accompagnées d’un doublage et de sous-titres en français (s’il vous plaît). Nous allons immédiatement découvrir une jeune équipe dynamique : la “Hot Wheels Racing Team”, ainsi que leur mentor, un professeur digne des meilleurs Pokémon aux allures d’Hideo Kojima. Celui-ci a fait une bourde et libéré des créatures qui n’ont rien trouvé de mieux à faire que de s’attaquer à la ville.

Ok Boss...

Quel rapport avec des voitures miniatures ? Via une petite pirouette scénaristique, ce n’est donc pas en tant que personne à taille humaine que nous allons combattre et piloter, tout cela grâce à une machine à réduire les voitures, humains… et monstres ! Nous allons vivre au rythme de courses effrénées, le combat du bien contre le mal entrecoupé de temps en temps de scénettes faisant progresser l’histoire sous forme humoristique (un peu au raz des pâquerettes).

 

A la découverte de nouveau lieux

Notre progression est matérialisée par une carte de la ville avec plusieurs vastes zones, une par monstre à Abarth.. abattre, avec des embranchements… menant régulièrement à des impasses. Un grand nombre d’épreuves y est saupoudré, de telle sorte que ce maillage dense donne, à raison, l’impression que la carrière sera longue.

La progression restera globalement linéaire.

Visitons l’arrière-cour d’une maison avec jardin, slalomons entre les bornes et installations d’une salle d’arcade dans un centre commercial, allons visiter les coulisses d’un restaurant “Diner” avec poste à essence, amusons-nous à taper dans quelques balles d’un minigolf western, et pour la partie instruction, visitons un musée d’histoire naturelle !

À vous les gros t-rex, encore plus immenses qu'à taille 1:1 !

Autant de nouveaux environnements qui viendront non pas compléter, mais remplacer ceux du premier opus. C’est toujours aussi détaillé, fourmillant de recoins cachés et d’objets, immenses comme riquiquis.

Les tracés, eux, sont nombreux, variés, et surtout de plus en plus complexes et acrobatiques au fil des courses. Loopings, rampes, sauts, pistes magnétiques, obstacles fixes ou mobiles, structures géantes… on dégringole, on grimpe, on tourne dans tous les sens, on flotte…

C'est souvent vertigineux, et c’est un vrai plaisir de pouvoir jouer aux montagnes russes sans subir les désagréments et hauts le cœur de toutes ces pirouettes.

 

Maniement peaufiné et complété

Le gameplay est dans la stricte continuité de celui d’Unleashed 1. Il s’agit essentiellement de jouer façon “brake to drift”, on freine un peu dans les virages, la voiture part en drift, se dirige très simplement, puis on reprend facilement le contrôle pour tracer sa route. C’est très rapide d’accès et intuitif, privilégiant la glisse à la courbe parfaite d’un jeu de simulation. Malgré cet aspect arcade, la physique reste d'excellente facture.

Certaines voitures se pilotent presque seules tandis que d'autres demanderont du doigté, n'hésitez pas à en tester un max pour trouver l'élue de votre cœur.

Si l’on peut toujours contrôler son véhicule dans les airs, des fonctionnalités additionnelles permettent d’initier de nouvelles manières d’évoluer : il est maintenant possible (et parfois recommandé) de sauter afin de faire un bond (de puce) pour éviter des obstacles ou vides. Combiné à ce déplacement vertical, s’ajoutent les chocs latéraux, qui permettent de décaler en un éclair la voiture à gauche ou à droite afin de corriger sa trajectoire, ou carrément pousser les adversaires dans le vide ou contre un élément fixe du décor. Cela ajoute de nouvelles stratégies au pilotage et les concepteurs des niveaux n’ont pas manqué d’en tenir compte pour nous rendre le plaisir plus intense.

Attention, cela consomme du boost, dont il ne faudrait pas manquer au mauvais moment. Utilisez l'aspiration, le drift et les départs boostés pour remplir votre jauge au maximum... tout le temps.

De nouveaux types d’épreuves font d’ailleurs leur apparition et c’est vraiment bienvenue, car l’alternance de courses classiques et de contre-la-montre dans le premier avait tendance à rendre le jeu ennuyeux.

Maintenant, nous avons droit à des courses de checkpoints où il faudra visiter des lieux hors piste et se rendre d’un “drapeau” à l’autre le plus rapidement et intelligemment possible, des épreuves de drift où la glisse en virages (ou non) permet de faire grimper un score et un multiplicateur, et enfin un mode élimination qui comme son nom l’indique, élimine peu à peu les concurrents à la traîne.

Je me sens VRAIMENT minuscule

Il n’est d’ailleurs pas forcément nécessaire de piloter la voiture la plus rapide pour gagner, il faut surtout celle qui s’adapte le mieux à la situation : type d’épreuve et tracé, rapide ou chaotique, axé drift, vitesse ou précision.

Enfin, les boss ne se contentent plus d’être un simple chrono à battre, il va falloir viser des cibles et ne pas en louper. Peut-être les moments les plus remplis de stress et de challenge avec des sons qui se focalisent sur l’approche du danger et un écran qui vire peu à peu au rouge.

La jauuuuugeeee ! Plus on approche du but, plus l'intervalle entre les cibles est raccourci.

Avec de nouveaux “monstres”, nouveaux pièges, obstacles et façon de les esquiver, en complément des existantes, cela apporte une nouvelle fraîcheur à un gameplay sans toutefois le renouveler complètement.

 

La collectionnite aiguë

Comme son aîné, Hot Wheels Unleashed 2 fait la part belle aux miniatures avec plus d’une centaine de véhicules, extirpés de la collection officielle… et nous avons droit, en plus de celles déjà présentes, à de nouveaux modèles de voitures, mais également de motos, quads, monster trucks qui apportent leur personnalité quant au pilotage. Il y a donc beaucoup à acheter, gagner et se faire offrir… et piloter !

Un minuscule échantillon des véhicules achetés ou gagnés présents dans mon garage.

Cet opus reprend un concept emprunté à d’autres licences : le Wheelspin (roue de la fortune) qui vient remplacer le concept des boites surprises… et je dois avouer qu’elles me manquent ! Ces tirages sont chiches en récompenses intéressantes, les véhicules, mais très généreux en cash, points d'améliorations, et collectibles “immatériaux”, on a vraiment l’impression de jouer à Forza Horizon, les klaxons personnalisés en moins.

À cela s'ajoutent les "Missions Unleashed" : de très nombreuses récompenses (beaucoup d'icônes, d'arrières plans, éléments, mots clés... et du cash) débloquées au fil de vos courses que vous pouvez venir récupérer dans votre rubrique profil personnel.

Sur Switch cela permet à ceux qui aiment se surpasser, de palier à l'absence de trophées ou succès.

Cette nouvelle générosité en crédits, y compris en fin de course, a l’avantage de nous permettre de dépenser l'argent plus copieusement à la boutique de miniatures et passer moins de temps à recycler les voitures que l'on a en double, ce qui était très fréquent dans le premier. Elle se met à jour toutes les 45 minutes et peut être immédiatement rafraîchie moyennant 350 crédits.

Il n'est pas rare de tomber sur de petits bijoux ! Quand on dispose déjà du véhicule, on est averti.

Les points d'améliorations sont à dépenser dans un “arbre de compétences” qui propulse notre voiture dans trois catégories successives : collection (de base), boosté, suprême. Ces compétences vont au-delà de la performance pure et se concentrent également sur la capacité à générer du boost en dirftant ou en collant les adversaires, la possibilité de mieux résister aux obstacles, etc.

Rien de miraculeux côté perfs, mais cela pourra aider pour les défis de carrière, qui demandent régulièrement de gagner des courses avec un type et une catégorie particulière de véhicule.

Il est même possible de modifier le type de jauge de notre véhicule.

Enfin la personnalisation est toujours bien là avec la création de livrées, de stickers et tracés ! Le tout est bien évidemment partageable et téléchargeable et le fonctionnement est calqué sur ce qui se faisait déjà depuis deux ans

Des livrées de la communauté, parfois très recherchées... (Recherché, Most Wanted, ahah, je sors...)

Certains joueurs ont eu la patience de produire des stickers personnalisés de qualité...

La technique a déjà tout donné

Globalement, le jeu s’en sort très bien sur Switch, que ce soit en mode portable ou sur écran. Ce dernier mode apporte des textures légèrement plus raffinées et une définition très acceptable sur grand écran. Les chargements sont un poil plus longs sans toutefois tomber dans l’excès (si les créateurs de Wreckfest sur PS4/One pouvaient m’entendre…)

Visuellement, le choix a été fait que les voitures soient moins étincelantes, elles font un peu plus “plastique” mat selon le modèle choisi. Les reflets sont un peu moins prononcés, rien de très problématique en soi, on a déjà vu des “downgrades” bien plus hideux que cela. Il va de soi que les versions pour Xbox et PlayStation sont plus belles, disposant de bien plus de puissance brute. Ici, nous sommes tout de même sur le haut du panier de ce qu'il est possible de faire sur Switch.

Toujours impressionné par la sensation d'immensité des lieux.

Il peut arriver dans certaines situations rares, où les tracés sont extrêmement longs, complexes et "garnis", qu'Hot Wheels Unleashed 2 commence à éprouver les limites de la Switch, avec quelques baisses de framerate et des textures qui prennent leur temps à apparaître en début de course. Cela se produit heureusement dans une ou deux missions sur la globalité du jeu, ce qui reste peu gênant. Dans l'ensemble, l'expérience est extrêmement fluide et sans hoquets.

Admirez-moi donc cette herbe de qualité, et ces belles traces dans la terre !

Le mode photo est toujours présent et a largement prouvé son efficacité par le passé. À vous les shootings de vos véhicules sous toutes les coutures avec un déplacement assez libre, le zoom, les filtres et quelques options intéressantes.

Le niveau de détails est excellent, similaire à celui en jeu.

 

J’ai beau être matinal, j’ai mal

La difficulté du titre s'adapte dans l'ensemble à nombre de profils de joueurs, d'âge et de “talent” variés. On regrettera cependant que même en difficulté “facile” ou “moyenne” certaines épreuves élèvent franchement le niveau attendu. Je pense principalement aux épreuves de drift demandant des scores parfois difficiles à atteindre, avec des circuits qui ne se prêtent parfois pas bien à l’exercice… de quoi en frustrer plus d’un, surtout que compléter certaines épreuves s’avère indispensable pour continuer la progression.

Evitez à tout prix de toucher quoi que ce soit, sous peine de perdre votre multiplicateur. Aussi, le choix du véhicule est ici primordial, vraiment...

 

En ce qui concerne la durée de vie, avec un gros paquet d’épreuves de carrière, des lieux et tracés variés, un nombre incalculable de véhicules à se procurer, les personnalisations et outils de création... Le solo vous occupera au minimum une bonne vingtaine d’heures !

À cela s’ajoutent les modes traditionnels déconnectés qui permettent de se lancer une petite course rapide seul ou à deux en écran partagé… mais également le multijoueur en ligne. De quoi renouveler encore un peu la durée de vie et se faire quelques sessions en VS de temps en temps.

 

Conclusion

Hot Wheels Unleashed 2 est une belle expérience qui propose de nouveaux environnements, du contenu riche, un roster de véhicules immense étendu à de nouvelles catégories, un concept d'améliorations revu dans le bon sens, de nouveaux types d'épreuves et des extensions au gameplay plutôt bienvenues !

On garde ainsi une recette très dynamique, un gameplay réellement satisfaisant et une IA très taquine. Si vous avez poncé l’opus précédent, la différence sera moins flagrante que d'autres "numéro 2", il est vrai qu'à ce niveau, même s'il y a eu des efforts, le soft peine à renouveler totalement sa proposition.

Très clairement, beaucoup d’aspects se ressemblent : graphismes, bruitages, musiques, caméras, prise en main, fonctionnalités de création, multi… tout cela était déjà très bon, alors si vous êtes nouveau venu, l'intérêt est concrètement présent... et puis à quoi bon casser ce qui marche déjà très bien ?

Techniquement, il reste impressionnant sur Switch, avec une expérience vraiment fluide et agréable dans 95% des cas. Cela fait plaisir en 2023 de pouvoir compter sur une sortie comme celle-ci sur la console de Nintendo.

L'avancée dans la carrière est intéressante, avec un scénario certes dispensable, mais qui aura le mérite d'amuser les plus jeunes. Il y a de quoi faire avec de nombreuses heures de jeu à la clé, les personnalisations, la boutique, la création de circuits, le multi local et en ligne... Certes, on s'ennuie un peu sur la fin avec une petite sensation de répétition, mais on n'y retourne jamais à reculons !

Un des titres indispensables de la Nintendo Switch, disponible à un prix plutôt intéressant vis-à-vis des prestations, que je vous recommande vivement, surtout si vous n'avez pas fait le premier ! Si l'expérience vous plaît, deux gros DLC sont prévus avec 25 véhicules, 2 environnements chacun et de nouvelles missions (courant novembre 2023 et juin 2024).

Allez, j'y retourne !

 

Et la next-gen ? Petit mot de BenjiBurn

Ahhh Hot Wheels Unleashed, j'avais adoré le premier et dès le lancement, j'ai eu un grand sourire à l'écoute de la musique d'intro qui n'est autre que celle utilisée par des vidéos de Vilebrequin (dont je suis assez fan :D). Première impression en arrivant au menu, c'est plus sobre, on se retrouve sur une interface Windows 8 avec des tuiles, on sait où on va et c'est bien fait.

La carrière tente d'apporter un renouveau en ajoutant des cutscenes avant quelques courses pour essayer d'y apporter un fond d'histoire, mais c'est plutôt creux et sans intérêt étant donné qu'il s'agit tout simplement de la même trame que le 1ᵉʳ jeu Hot Wheels Unleashed. C'est un petit plus pour ceux qui n'ont pas fait le 1ᵉʳ, mais clairement oubliable et totalement dispensable.

Quant au gameplay, j'ai l'impression qu'ils ont assoupli un peu la direction, car j'ai eu beaucoup moins tendance à frotter les murs que dans le 1ᵉʳ. L'ensemble parait plus simple à prendre en main, et ce n'est pas plus mal quand on sait que certains joueurs ont pu être dégoutés à cause de ça (hein spanglelounet <3).

Image fournie par l'éditeur

J'apprécie particulièrement l'ajout des sauts et des dashs sur les côtés permettant ENFIN d'éviter cette sal***rie d'araignée ! Et puis c'est surtout très utile quand on rate un saut et qu'on voit clairement qu'on va atterrir à côté de la piste. Après, le côté "takedown" pour pousser les autres concurrents aurait pu être mieux géré qu'une simple poussade sans grand intérêt dont on ne se servira finalement que très peu.

Bien que la carrière soit bien foutue, il y a forcément beaucoup de répétitions dans les épreuves et les circuits. Les environnements sont peut-être un peu moins mis en avant que dans le premier et on a parfois l'impression de toujours un peu tourner au même endroit. Heureusement, ils ont ajouté des épreuves de drift et de chrono en monde ouvert, ça ajoute un peu de diversité, mais ça n'empêche toujours pas de tourner en rond vers les trois quarts de la progression générale.

Image fournie par l'éditeur

Par contre, il faut qu'on parle des boss. Le système de combat dans lequel il faut détruire des cibles avant un temps imparti est clairement bidon. Si tu rates une cible, tu sais qu'à 95% tu devras recommencer. Les épreuves de boss sont quasiment impardonnables et c'est plutôt frustrant, car il n'y a pas plus d'action que cela au final. Je n'y ai pris aucun plaisir. On aurait pu imaginer bien plus de pièges ou d'éléments perturbateurs durant ces courses-là !

Visuellement aucun changement sur la version Xbox, c'est toujours magnifique, on a constamment l'impression de voir le métal briller comme celui de nos petites voitures. On voit aussi les défauts de peinture lors des chocs, la qualité du plastique sur les vitres ou sur le bas de caisse. On ne verra pas de différence réelle avec le prédécesseur, mais il était déjà au top, donc on ne pouvait pas demander mieux.

Malheureusement, il garde un très gros défaut, la difficulté toujours aussi mal dosée. En moyen, on roule sur l'IA, en difficile, l'IA nous roule dessus.

Image fournie par l'éditeur

Concernant les voitures, le nouveau système de boutique pour les acheter est plutôt intéressant malgré le fait qu'il perde son côté "aléatoire" des boites surprises. L'avantage de cet épisode est qu'il est nettement moins radin niveau argent et qu'on peut plus rapidement étoffer son garage.

Malheureusement, il y a encore le syndrome de "la bonne voiture" qui fait qu'on aura tendance à toujours prendre la même parce qu'elle est largement mieux que les autres.

À propos des voitures, j'avoue apprécier le nouveau système d'amélioration. On a davantage la main sur ce qu'on souhaite améliorer grâce à des compétences à débloquer, avant, on ne nous proposait que de "level up" la bagnole sans autre précision.

J'ai globalement passé un bon moment sur Hot Wheels Unleashed 2 bien que j'ai un peu rushé la fin lorsque ça commençait à devenir un peu trop répétitif. Je pense que c'est un très bon jeu pour ceux qui n'ont pas fait le premier. Pour les autres, cela ressemble plutôt à ce qu'aurait dû être une grosse mise à jour.

Image fournie par l'éditeur

 

Verdict :

 

Fiche technique :

• Genres : Course, collection
• Développeur : Milestone
• Editeur : Milestone / Mattel
• Distributeur physique : Plaion
• Français : menus, sous-titres, voix
• Plateformes : Switch, Xbox, PS4, PS5, PC
• Prix : 59,99 € (édition Pure Fire), 49,99 € (édition Dayone)
• Version : 1.0.0 sur cartouche, mise à jour 1.0.1
• Taille : 745 Mo (mise à jour)
• Date de sortie : 19 octobre 2023
• Magasins : Switch, Xbox, PS4, PS5, PC

Nous remercions Plaion qui nous a fourni une copie de review du jeu

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