Warhorse Studio / Deep Silver / Plaion - PlayStation 5 / Xbox Series / Windows - 100 Go - Textes et interface en français
Cher lecteur, que de temps s’est écoulé ! Cela faisait terriblement longtemps que je n’avais pas écrit pour Chromabox, mais beaucoup plus longue fut mon attente de la suite de Kingdom Come Deliverance, incontestablement mon jeu de l’année 2018.
Lorsque nous avons eu l’opportunité de recevoir une copie du jeu (merci PLAION !), difficile de résister à l’appel du clavier.
Bohème en eaux troubles
Kingdom Come Deliverance 2 se déroule quelques années après les événements du premier opus. Nous y retrouvons un Henry plus expérimenté, désormais garde du corps de Hans Capon, son seigneur et fidèle compagnon. Les deux acolytes sont missionnés pour rencontrer un seigneur local influent, afin de jauger la situation politique et proposer des alliances pour faire face aux troubles qui ravagent la Bohême : deux prétendants aux trône en conflit, des factions divisées, et une guerre civile sur le point de ravager le pays tout entier.
Malheureusement pour nos protagonistes, rien ne se déroulera comme prévu. Alors qu’ils bivouaquaient, Henry, Hans et sa troupe subissent une attaque violente. Notre héros est grièvement blessé, aux portes de la mort -une justification parfaite pour expliquer le nerf de capacités qu’il subit après sa montée en puissance dans le premier épisode, j’aime beaucoup. Littéralement à poil, il devra alors, en ces terres inconnues, gravir à nouveau les échelons de la société du XVᵉ siècle pour mener à bien sa mission et, au passage, assouvir sa vengeance personnelle – une quête laissée inachevée dans le premier Kingdom Come Deliverance.
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Notre épopée commence par un voyage. Rien ne se passera comme prévu.
Avant la gloire…les galères
À l'instar du premier KCD, Henry entame son périple au bas de l'échelle sociale. Les récents événements l'ont réduit à l'état de simple manant dans une contrée où sa réputation durement acquise ne lui est d'aucun secours. Les poches vides, il devra rebâtir sa santé, tant physique que financière. Néanmoins, Henry demeure un homme capable et instruit. Malgré ses capacités physiques amoindries, il pourra s'appuyer sur ses origines modestes et son expérience de soldat pour améliorer sa situation précaire
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Il me prend que je suis en pleine hallucination, car je suis à poil, trempé, j’ai pris une flèche dans le dos, je me suis battu à mort avec un bandit, avant de chuter d’une falaise et survécu car la chute a été amortie par un cadavre. D’autres questions ?
Du point de vue du joueur, les débuts s'avèrent ardus. Les premières heures de jeu peuvent être particulièrement éprouvantes, donnant l'impression de piétiner et d'échouer constamment. Il serait imprudent de s'aventurer librement dans cette nature aussi magnifique que hostile, peuplée de loups, de brigands ou de paysans un peu fous.
Un conseil : au début, limitez-vous aux objectifs indiqués dans votre journal de quêtes, plutôt que de tenter de vous aventurer dans la nature sauvage, comme j’ai pu le faire. Cette approche vous permettra d'obtenir vos premiers Groshens et quelques pièces d'équipement supérieures à vos haillons de gueux.
Il est également recommandé de s'intéresser rapidement à l'alchimie. Cette compétence vous permettra de créer vos propres décoctions pour affronter les épreuves que vous allez rencontrer, mais surtout de vous constituer un petit pécule en les revendant.
Enfin, face à un adversaire menaçant, n'hésitez pas à prendre la fuite. C’est une question de survie, et de santé mentale, dans un jeu où la sauvegarde est une denrée rare.
Rhapsodie bohémienne
Si KCD2 est un jeu si captivant, c'est qu'il vise un réalisme plausible. Pour survivre, le jeu impose de multiples systèmes, plus ou moins complexes à maîtriser. L'un des aspects cruciaux réside dans la gestion de l'alimentation. Il faut se nourrir fréquemment, tout en veillant à la qualité des aliments, qui se dégradent dans le temps. La possibilité de "prélever" dans la nature ce dont on a besoin est offerte, rendant la gestion des denrées minutieuse. Pour gérer ces contraintes, diverses méthodes de conservation sont disponibles, comme le séchage ou le fumage des aliments.
Vous devrez également soigner votre apparence : les vêtements reflètent le statut social, de même que votre hygiène corporelle qui soit dit en passant est mise à rude épreuve. Les gens peuvent vous traiter avec mépris si vous vous présentez en haillons ensanglantés, ce qui arrivera souvent. Il n’est pas rare d’être traité comme un vulgaire puant !
Même la sauvegarde requiert la consommation de Schnaps du sauveur, une boisson que vous devrez concocter vous-même via un laboratoire d’alchimie, à partir d’herbes cueillies en pleine nature, et pour les plus fortunés, achetées chez l'apothicaire local.
Ces éléments ne sont qu'un aperçu des défis à relever pour survivre dans ce Moyen Âge impitoyable. Une routine rigoureuse s'impose pour assurer la survie d'Henry, avant de s'investir dans des activités plus élaborées comme l'alchimie ou la forge, activités qui vous demanderont aussi un peu (beaucoup?) d’investissement, puisqu’il s’agira là de “mini jeux” vous demandant de la patience, de la mémoire, de l'habileté, et bien évidemment, des ressources récupérées ici ou là, honnêtement ou non.
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J’ai passé beaucoup de temps à la forge, je sais pas, ça me détend, même si je pourrais tordre le cou de Henry quand il se met à siffler pour garder le rythme.
Et puisqu’on parle d’honnêteté, vous aurez également la possibilité de prendre un chemin plus direct en commettant divers larcins, en vous appropriant, par exemple, les biens des honnêtes citoyens. Gardez tout de même en tête que cette voie là n’est pas si évidente, et vous engagera dans un chemin semé d’embuches. Pour devenir un voleur parfait, il faudra commencer par veiller à ce que votre tenue soit discrète. Il faudra ensuite vous introduire dans une maison : de jour, vous pourriez-être aperçu et donc laisser derrière vous un potentiel témoin qui pourrait associer le vol à votre personne. De nuit, vous risquez d’être interpellé par un garde qui trouverait louche que vous vous promeniez de nuit sans torche.
Et si vous arriviez à vous remplir les poches, il faudrait éviter d’attirer trop l’attention sur vous, de sorte à éviter les fouilles aléatoires de certains gardes, et attendre un peu que l’objet de votre délit ne soit plus considéré comme un objet volé. Le risque est haut, et soyons clair, dans les premières heures de jeu, le vol n’en vaut pas vraiment la chandelle. Et paradoxalement, ce sont des compétences qui pourraient vous manquer lors de passages essentiels du jeu, plus tard dans votre aventure. Tout est question d’équilibre.
Kingdom Come Deliverance 1 et 2, c’est ça : un certain degré de réalisme dans tous ses systèmes et sous-systèmes, des choses pénibles à comprendre, à assimiler et surtout à mettre en œuvre, mais incroyablement satisfaisantes lorsque l’on arrive à jouer cette petite musique parfaitement.
La plume plus forte que l’épée ?
Il serait criminel d'évoquer Kingdom Come: Deliverance 2 sans aborder son système de combat, hérité et amélioré du premier opus.
Les affrontements se déroulent en choisissant une direction d'attaque (haut, gauche, droite, bas) et en observant attentivement la posture de l'adversaire pour anticiper ses mouvements. Cette approche rend les combats longs et psychologiquement éprouvants, nécessitant une concentration constante, et un timing parfait dans l’exécution des attaques, des parades et des contre-attaques. Parfois frustrant tant il est injuste, il devient particulièrement satisfaisant lorsque vous commencez à maîtriser et à trouver un bon rythme. Personnellement, j’adore lorsqu’avec l’ennemi, nous enchaînons parfois 3 ou 4 coups suivis de parades en rythme, pour finalement réussir à toucher l’ennemi et de lire sur son visage sa frustration et une certaine douleur dans sa posture. C’est réel, les ennemis seront recourbés au fur et à mesure des coups au but. Tout le sel de ce système repose donc sur la lecture de la posture de votre ennemi, de la prise de décisions rapides, de la gestion de votre endurance pour exécuter un ou plusieurs coups, et de frapper là où l’ennemi est le moins bien protégé.
Vous aurez également accès à des mécaniques avancées telles que les bottes et les coups de maître (parades parfaites suivies de contre-attaques dévastatrices). La mauvaise nouvelle, c’est que vous croiserez parfois des ennemis ayant reçu un entraînement martial similaire au votre, capables de vous envoyer brouter les pissenlits.
Le choix des armes revêt également une importance cruciale. Chaque type d'armure requiert une approche spécifique, comme l'utilisation d'une masse d'armes ou d’un marteau de guerre contre une armure de plaques, là où une épée serait inefficace.
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Grosse tension qui précède un combat aux nombreux enjeux.
Concernant les armes à distance, KCD2 propose des arcs, des arbalètes et des armes à feu primitives. Leur utilisation est délibérément complexe, sans réticule de visée, obligeant le joueur à estimer la trajectoire. Chaque type d'arme présente ses avantages et inconvénients : l'arc offre une cadence rapide mais une visée difficile, l'arbalète inflige des dégâts importants mais nécessite un long rechargement, tandis que les armes à feu sont dévastatrices mais imprécises et encore plus lentes à recharger. Leur introduction à Henry est d’ailleurs particulièrement savoureuse.
Ce système de combat, bien que exigeant, s'inscrit parfaitement dans cette vision réaliste voulue par Warhorse Studios du combat médiéval. Reste néanmoins que le système tout entier repose sur des bases un peu datées, qui auraient pu s’inspirer d’autres productions, comme Mount and Blade 2, Chivalry ou For Honor, qui sont, je pense, un peu plus aboutis.
L’enfer du décor
Les graphismes de ce KCD2 sont globalement magnifiques, bien que parfois inégaux.
Le monde ouvert est particulièrement réussi, d’une beauté saisissante servi par une direction artistique tutoyant l’excellence. Les environnements sont vivants et soignés, sublimés par des palettes de couleurs douces et réalistes, sans chichis, et ce quels qu’ils soient : les intérieurs, la nature sauvage, les grottes sont tous traités avec justesse. C’est juste beau, vivant, créé avec soin et intelligence. On ne va pas dire qu’on aimerait vivre dans un tel monde, mais presque !
Cependant, quelques aspects graphiques sont moins convaincants. Sur Xbox Series X, la modélisation des personnages manque de détails et est relativement datée. Paradoxalement, les vêtements, objets et armures sont magnifiquement rendus, créant parfois un contraste perturbant.
Le jeu souffre également d’une absence de mise en scène pendant les dialogues, se contentant aussi de simples champ / contrechamp, typiques de ce type de productions. Dommage.
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Chevauchée champêtre, attention aux branches…
L'interface utilisateur, bien que améliorée par rapport au premier opus, présente quelques défauts :
- Les écritures sont très petites, posant des problèmes de lisibilité, surtout pour les quadras tels que moi. Il existe des options d’accessibilité, même si elles ne règlent malheureusement pas tous les problèmes.
- La complexité des informations affichées rend certains éléments difficiles à comprendre, malgré l'aide disponible dans le menu principal. Tout n’est malheureusement pas expliqué.
- La navigation dans les menus et sous-menus peut être fastidieuse, avec des animations parfois longues qui ralentissent les actions simples. Je rêve d’un monde où un designer UI/UX arrive enfin à trouver la solution miracle pour des menus de RPG intelligibles et faciles à comprendre.
Mention spéciale à la carte du monde, charmante à souhait avec ses nuages faisant office de brouillard de guerre. L’une des plus belles world map du jeu vidéo qu’il m’ait été donné de voir, malgré son manque de précision. On ne peut malheureusement pas tout avoir.
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Se repérer dans l’espace n’est pas toujours évident avec cette carte, mais il faut admettre que c’est la plus belle carte qu’il m’ait été donné de voir dans un jeu.
Vous l’aurez compris, malgré quelques inconvénients, l'expérience visuelle globale reste impressionnante et ce monde est une invitation à l’exploration et il n’est pas rare que l’on s’arrête devant un lever de soleil ou un panorama délirant de beauté.
Luth et approuvé
Kingdom Come Deliverance 2 me donne l’impression d’avoir deux bandes sonores bien distinctes.
La première, d'ambiance, renforce l'immersion dans le monde médiéval avec des sonorités d'époque telles qu’elles figurent dans notre imaginaire collectif. La seconde, plus moderne et orchestrale, accompagne les moments cinématographiques du jeu. D’un point de vue tout à fait personnel, ces morceaux là avaient tendance à me sortir un peu du jeu, puisque prenant à contre-sens l’ambiance sonore que l’on peut attendre d’un jeu se voulant réaliste. Mais il nous fallait, par moments, du grand spectacle.
Fort heureusement, la majeure partie de ce que vous percevrez dans le jeu seront des musiques aux sonorités médiévales, souvent associées à des lieux ou des situations particulières (musiques citadines, musiques lors des combats, des embuscades, des phases d’infiltration etc…).
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Le jeu alterne habilement entre musique d’ambiance et musique intradiégétique, comme ici, durant ce mariage, où ce sont des troubadours qui se chargent de mettre un peu d’ambiance…
Je vous parlais précédemment de la beauté du monde ouvert, tout cela est évidemment renforcé par l’excellent sound design qui accompagne votre épopée, en forêt comme dans les environnements urbains. En bref, ici également, KCD2 a bénéficié d’un soin tout particulier dans son ambiance sonore, toujours, j’imagine dans cet objectif de vous offrir l’expérience la plus réaliste possible.
Il est aussi important, aussi, d’aborder le doublage français du jeu, qui a été vivement critiqué, à raison. Pour résumer, deux doublages ont été réalisés : celui qui concerne les personnages principaux, et un second, qui concerne tous les personnages mineurs que l’on peut rencontrer.
Ce dernier, réalisé par une entreprise espagnole (qui ne mérite même pas que je donne son nom), semble avoir utilisé de l'intelligence artificielle ou des acteurs vocaux médiocres, donnant un rendu de mauvaise qualité. Plaion a reconnu ce problème et a entamé une nouvelle session d'enregistrement, qui devrait être entièrement déployée fin mars
Pour ma part, j’ai opté pour la version anglaise du jeu, impeccable. Mention spéciale au doubleur d’Henry (qui est aussi son modèle), qui a une voix et un acting parfait, qui illustre parfaitement le personnage.
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Mickael et Georges, deux troubadours en devenir, qui nous offrent l’une des scènes les plus amusantes auxquelles j’ai pu assister.
Un voyage qui en vaut la chandelle ?
Malheureusement, à l’heure de ce bilan, je n’ai malheureusement pas pu terminer le jeu. J’en suis même assez loin, malgré une bonne trentaine d’heures de jeu. Je vais donc devoir baser mon jugement sur une expérience inachevée pour moi. L’aventure KCD2 ne va par ailleurs pas se terminer là pour moi, puisque j’ai bien l’intention d’aller jusqu’au bout.
KCD2 n’est pas un jeu parfait, mais il est remarquable, et comme le premier d’ailleurs, c’est un jeu qui me restera en mémoire.
Henry est un personnage attachant, profondément humain, qui s’affaire à prendre sa place au forceps dans un monde cruel, ancré dans ses intrigues religieuses et politiques.
Avec Hans, il forme un duo tantôt comique, tantôt touchant, souvent juste, et trop souvent brutal. Confiez du pouvoir, des épées et des armures à deux adolescents en rut, qu’est-ce qu’il pourrait mal se passer ?
Nous serions déjà plus que satisfaits si le jeu s’arrêtait à cette belle épopée personnelle, mais le jeu va tellement plus loin. Un témoignage crédible d’une histoire qui aurait pu, d’une certaine façon, se dérouler il y a 500 ans, loin des clichés auxquels nous sommes habitués. Je ne suis pas historien, je ne sais rien de l’ancienne Tchécoslovaquie de 1503, mais l’expérience offerte par ce KCD2 sait jouer parfaitement de la suspension de crédulité, et même dans ses moments d’exagération, j’y crois. Et ce, même si par moments, la mise en scène s’amuse d’elle même en jouant avec une écriture très moderne (ce passage avec des effets de caméra à la “The Office” pendant la chanson de Mickael et Georges, priceless) ou un langage parfois trop fleuri, il est incontestable que les équipes derrière ce KCD2 ont un amour sincère pour l’Histoire de leur pays, et ce, en dépit des fantasmes de son créateur (qui a du être un peu muselé, j’imagine, depuis le premier épisode).
Cependant, le jeu peut s'avérer exigeant pour certains joueurs. Son système de combat “réaliste” peut être frustrant, et certaines mécaniques comme la forge ou l'alchimie peuvent devenir rapidement pénibles. De plus, le jeu impose parfois des approches spécifiques, comme l'infiltration, qui peuvent ne pas convenir à tous les styles de jeu, encore plus quand l’intelligence artificielle fait des siennes.
Malgré ces défauts, Kingdom Come: Deliverance 2 offre une expérience unique, avec un monde ouvert magnifique, des personnages attachants, une trame historique forte. Le jeu parvient à équilibrer un certain réalisme historique tout en déconstruisant des clichés habituels du genre. Reste son gameplay, qui pourrait ne pas convenir à tout le monde, et cela n’a rien à voir avec de la difficulté au sens strict du terme. Pour ma part, je suis plus apte à affronter ce type de frustrations plutôt que celles que je ressens dans des souls like par exemple.
Sur ce, cher lecteur, j’y retourne, à une prochaine fois !
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Y’a pas à dire, ces nobles, ils ont vraiment le sens de la fête.
Verdict :
- Une retranscription crédible du moyen-âge, cette fois, sans dragons, morts vivants et autres créatures fantastiques
- On ne s’ennuie que très rarement, il y a toujours quelque chose à faire
- Globalement, l’écriture est très maîtrisée
- Les quêtes secondaires ont toutes quelque chose à raconter, on fait rarement ça en vain, même si les récompenses sont souvent peu à la hauteur.
- J’ai dit que c’était très beau ?
- La forge et l’alchimie, quand on aime.
- Le duo Henry et Hans et leur bromance (même si parfois, ils peuvent être de sales cons)
- La satisfaction, souvent grisante lorsque l’on termine un combat particulièrement éprouvant
- Le mode photo, simplissime à souhait, qui aurait mérité plus d’options (choix de focale, flou de profondeur…)
- L’intelligence artificielle, très souvent aux fraises (surtout sur les phases d’infiltration)
- La forge et l’alchimie, quand on n’aime pas.
- Le début du jeu est très âpre.
- Le système de sauvegarde, un peu illogique. L’alchimie pour sauvegarder, ok, mais laisser la possibilité de sauvegarder à volonté en retournant sur le menu principal, ça casse le principe de la sauvegarde sous contrainte.
Une meilleure IA des PNJ. Une traduction française digne de ce nom, dès la sortie.
Kingdom come deliverance 1, Mount and Blade, Chivalry.
Les yeux A part la modélisation des personnages, le jeu est somptueux.
|
8/10 |
Les oreilles De la musique au sound design, on frôle la perfection. |
9/10 |
Les mains Il faut du temps pour venir à bout d’un gameplay parfois un peu lourd. |
6/10 |
La plume Comment ne pas s’attacher aux personnages ? Comment survivre aux trahisons ? Comment ne pas sourire face à certains traits d’humour ? KCD2 bénéficie d’une écriture parfaite. Vraiment. |
10/10 |
La patience Si vous aimez les longs jeux, vous serez servis ! |
9/10 |
Le porte monnaie Jeu vendu au prix fort. De nombreux DLC sont annoncés, votre banquier risque de vous détester. Mais tout cela en vaut la peine, non ? pour peu que vous accrochiez au jeu ! |
7/10 |
Le coeur 2018 : KCD1 est mon GOTY. 2025 : KCD2 est mon GOTY ? C’est un bon candidat ! |
9/10 |
Total : |
8.3/10 |
Fiche technique :
- Genres : RPG
- Développeur : Warhorse Studios
- Éditeur : Deep Silver
- Distributeur : Plaion
- Langues : Français, anglais, ...
- Plateformes : PC, Xbox, PlayStation
- Testé sur : XBOX Series X
- Prix : 69,99 €
- Taille : 100 Go
- Date de sortie : 4 février 2025
- Magasins : Steam, Xbox, PlayStation
Nous remercions PLAION qui nous a fourni une copie de review du jeu
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Merci pour votre lecture ! 
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