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[Test] Wartile sur Switch : Le tactical sauce Vikings servi sur un plateau

[Test] Wartile sur Switch : Le tactical sauce Vikings servi sur un plateau
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Développé par PlayWood Project et sorti en 2017 sur PC, Wartile est arrivé sur consoles cette année : d’abord sur PS4 et Xbox One au printemps, avant de terminer sur Switch ce 16 novembre dans une “Complete Edition” reprenant le jeu de base et l’extension “Hel’s Nightmare”. Tactical-RPG en temps réel s’inspirant des jeux de plateau, Wartile nous entraîne dans un univers viking aux tableaux et figurines qu’on croirait sortis d’une vraie boîte de jeu. Par Odin, en avant !

 

Fiche technique :

  • Genre : Aventure / Tactical-RPG / Jeu de plateau / Jeu de cartes
  • Développeur : PlayWood Project
  • Editeur : Deck 13
  • Langues : Allemand, anglais, espagnol, français, italien
  • Plateformes : Switch, PS4, Xbox One, PC
  • Testé sur : Switch (2018)
  • Prix : 19,99 €
  • Version : 1.1
  • Taille : 3,3 Go
  • Date de sortie : 16 Novembre 2020
  • Disponibilité : Dématérialisé

 

attaque
Ils sont pas beaux mes Vikings ?!

 

Wartile joue la carte viking

Les Vikings seraient-ils sur le point de rattraper les zombies comme source d’inspiration chez nos chers auteurs ? Si rien ne semble arriver à la cheville purulente et pustuleuse d’un mort-vivant, cette idée ne paraît pas farfelue dès lors qu’on fait un petit tour d’horizon de nos médias préférés. Il y a d’abord les séries Vikings, The Last Kingdom ou Ragnarök, puis les jeux vidéo avec God of War version PS4 et le dernier Assassin’s Creed Valhalla qui vient se sortir, sans oublier les super-héros asgardiens de Marvel, Thor et Loki, ou plus généralement toute l’influence qu’a la mythologie nordique sur la culture populaire. En 2020, Odin, ses fils et leur univers font définitivement partie de notre environnement.

dalles
Un jeu de plateau dans l’univers viking, ça donne ça !

 

C’est dans ce contexte que débarque Wartile, un titre de stratégie en temps réel aux fortes inspirations de jeu de plateau qui place le joueur dans un univers de “nordic-fantasy”. Le joueur, justement, est d’emblée positionné à la manière d’un joueur d’un vrai jeu de société. Imaginez-vous ouvrir votre boîte et éparpiller devant vous les différents éléments la composant (plateau de jeu, figurines, armes, objets, cartes...) et vous aurez le rendu de l’écran-titre de Wartile.

plateau
L’écran titre du jeu (après avoir fini l’aventure principale) : autour de la carte du monde, on trouve différents éléments qu’on pourrait avoir dans une vraie boîte de jeu.


Au milieu : le monde dans lequel vous évoluerez, avec ses différentes destinations qui sont autant de missions/plateaux de jeu. Sur le côté gauche : vos figurines (6 personnages jouables à débloquer, de la brute à l’archère, en passant par la magicienne et le lancier) et leur équipement. Côté droit : l’échoppe du marchand (objets réinitialisés après chaque partie) et le stock de cartes (vous disposez d’un deck de 5 cartes délivrant différents bonus/malus et compétences offensives/offensives à activer en jeu). Enfin, en haut : votre drakkar, sur lequel vous placez vos figurines/combattants en partance pour la guerre !

Igor
Les combattants demandent du temps et donc de l’argent pour être débloqués. Mais comment résister à Ivor d’Hossegor ? Vous noterez au passage la puissance graphique de la version Switch (la qualité de la capture d’écran n’arrangeant rien non plus).


Un jeu guère épais

Après une courte mission faisant office de tutoriel (où on vous apprend également que votre village est en proie à une peste qu’il vous incombe de chercher à éradiquer, voilà pour la ligne de scénario), vous voilà lancé dans l’aventure. Celle-ci est d’ailleurs contée par un narrateur anglophone (mais rassurez-vous le jeu est entièrement sous-titré en français) qui n’a certainement pas été choisi au hasard : il s’agit de l’acteur anglais George Blagden qui n’est autre que Athelstan, personnage central des premières saisons de la série Vikings. Si ce procédé narratif est agréable à l’oreille, il ne nous empêchera pas d’oublier aussi vite le scénario de Wartile, qui n’a rien de très excitant. Et, une fois que vous aurez rempli les objectifs de votre mission, vous aurez tôt fait d’effacer de votre mémoire le but et le rôle de vos escapades sanglantes.

Interlude
Ce genre de petite saynète après une mission réussie, très agréable, est malheureusement aussi très rare.

 

Entrons maintenant dans le vif du gameplay. Comme expliqué plus haut, avant de partir à l’aventure, il vous faut compléter votre drakkar. Comprenez : vous devez former votre escouade. Si les premières missions vous limitent à deux guerriers, les dernières porteront ce chiffre à quatre : de quoi bien s’amuser. Ces combattants, qui possèdent chacun des caractéristiques propres, vous allez aussi pouvoir les “pimper” : dotés d’armes et équipements de base, ils jouiront de tous les trésors que vous amasserez au fil de votre périple, de même que des objets achetés chez le marchand. Armés et équipés, vos vikings peuvent également être affublés de “jetons” leur octroyant des points bonus dans différentes catégories (santé, armure, attaque, défense et dégâts).

Jetons
Voilà un de mes valeureux guerriers vikings, affublé d’un ensemble de jetons. Ici vous noterez que j’ai misé sur les dégâts, l’attaque et… la défense. Oui, pas étonnant que je sois si mauvais avec une telle stratégie !

 

Stratégie à deux dalles

Un des éléments stratégique du titre se joue d’ailleurs ici. Si chacun de vos soldats peut “encaisser” six jetons (classés en trois catégories : normale, supérieure et parfaite) ainsi qu’un septième de nature “spéciale” qui offre un avantage non négligeable en combat (revenir à la vie, invoquer des “guerriers citrouilles”...), sachez que ces derniers, une fois placés sur un personnage, ne pourront lui être enlevés qu’en étant sacrifiés : c’est-à-dire détruits. De quoi bien réfléchir avant de booster tel ou tel guerrier dans un domaine particulier. Autre élément de stratégie bien plaisant : les cartes. Votre deck sera ainsi à choisir en connaissance de cause avant de monter sur votre drakkar. Une fois dans le feu de l’action, vous n’aurez plus que vos yeux pour pleurer devant une carte “barrage” inutile ou une autre très forte mais au coût d’utilisation (variant de 1 à 6 points de combat) inaccessible…

drakkartes
Les cartes se débloquent au fur et à mesure de l’aventure… A vous de trouver la combinaison idoine pour parfaire votre deck !


Le feu de l’action, justement, à quoi ressemble-t-il ? Bonne question. Chaque zone du monde à découvrir se présente “in game” telle un plateau de jeu amélioré, avec relief, décor et paysage, divisé en une multitude de dalles hexagonales. Le but étant de déplacer vos figurines - vos guerriers vikings - de case en case jusqu’à remplir tous vos objectifs. Il ne s’agit pas de tour par tour mais bien de temps réel : les déplacements ne sont pas limités mais seulement ralentis (il faudra alors attendre que la jauge de mouvement de votre perso soit rechargée), et vous passez d’un “pion” à un autre sans attendre un quelconque tour de l’ennemi. En outre, vous pouvez déplacer un guerrier ou bien tout votre groupe, en maintenant deux touches distinctes.

tuto
Un petit tuto vaut mieux que mille mots.

 

Tuer, piller, brûler, recommencer

Les objectifs prioritaires peuvent être de libérer un roi, récupérer un artefact ou éliminer un titan de glace (car qui dit lore et mythologie vikings, dit “fantasy”), tandis que les secondaires seront d’incendier les tentes ennemies, annihiler leurs renforts ou ramasser des grenouilles (faut pas croire que les Vikings ne savaient pas s’amuser). Et au milieu de tout ça, à côté des trois totems de sauvegarde à activer (et qui permettent également de faire respawn vos soldats tombés au combat et/ou de remplir les barres de vie des autres), vous récupérerez dans des coffres disséminés sur le plateau des armes (pour équiper vos hommes de retour à la base), des objets ponctuels matérialisés par des cartes (à utiliser dans le niveau en cours, comme des bombes ou des haches de lancer) et de l’argent. Un ensemble de “trésors” qui vous motivera à refaire certaines missions dans un niveau de difficulté plus élevé, histoire de récupérer telle carte ou telle arme, mais aussi de faire monter votre niveau général.

sauvetage
Une fois la mission “sauvetage” réussie au niveau 6 (vous êtes niveau 7), vous débloquerez un second niveau de diffculté, puis un troisième, chacun permettant de glaner de nouvelles cartes, personnage et autres joyeusetés. A noter que le premier niveau, lui, permet de débloquer la mission/destination suivante.

 

Mais, évidemment, le cœur du gameplay concernera les affrontements contre vos ennemis. Des affrontements tout en finesse et en douceur. Non, je déconne. Armés d’épées, haches, masses ou d’arcs, pour les moins téméraires, vous voilà donc sur le champ de bataille. Le but du jeu est alors de déplacer vos troupes de manière à abattre vos adversaires (et vos cartes, haha!) le plus rapidement possible. Et ce positionnement n’est pas à prendre à la légère dans Wartile. En effet, comme dans d’autres tactical, votre personnage fera davantage de dégâts s’il attaque par derrière ou en hauteur (car le plateau de jeu comporte des reliefs). Plutôt classique. De même, vos assauts seront plus efficaces si vos combattants encerclent leur proie. Toute la stratégie résulte donc dans votre capacité à bien vous placer, et à vous adapter au fur et à mesure que dure le combat, en actionnant des objets, des cartes ou la capacité spéciale de vos hommes (là aussi matérialisée par une carte, à choisir au préalable).

tuto
Tuto numéro 2 : les combats (et la santé).


ennemi
Ici l’ennemi, bien entouré, est en fâcheuse posture : sa barre de vie (le disque bleu) s’amenuise à vue d’oeil.

 

La guerre à Thor et de travers

Si les premiers duels peuvent être faciles à appréhender, en positionnant un à un vos (quatre) guerriers avant de lancer l’assaut, plus les ennemis afflueront (par le biais de cases “renforts” ou de dalles magiques les faisant apparaître sur le plateau) plus il sera difficile de s’en sortir. Les attaques se déroulant en temps réel, une fois le combat lancé vous aurez bien un moyen de “calmer le jeu” : en pressant la touche B (sur Switch) pour ralentir le temps. Mais cela ne résoudra pas tous vos problèmes, et il vous faudra dans tous les cas mettre vos méninges et vos nerfs à rude épreuve pour réagir sous peine de voir rapidement la santé de vos quatre Vikings tomber à zéro : mettre en retrait celui sur le point de mourir, lancer le pouvoir de l’un d’eux pour ménager votre troupe, activer un piège contre vos ennemis ou au contraire un bonus d’équipe… Et tout cela, bien entendu, en faisant fi des problèmes de jouabilité et/ou d’affichage du jeu.

zoom
Pour y voir plus clair, on peut toujours essayer de zoomer... Mais ça n’évite pas les bugs pour autant : là j’essayais désespérément d’ouvrir ce maudit coffre. Ah et tant qu’on y est vous voyez sur ce screen les stats de mon personnage en bas à gauche, mon deck de carte à droite et son pouvoir spécial encore plus à droite.

 

Car, oui, ce serait bien trop simple sinon : Wartile pèche souvent par défaut de technique. Quand vous avez le temps d’avancer vos pions, aucun soucis : le gameplay type “jeu de plateau” fonctionne bien, en maintenant une touche (pour déplacer un soldat) ou une autre (pour les mouvoir tous ensemble) et en visant la case d’arrivée souhaitée avec le joystick. Problème, dès que l’action deviendra frénétique, vous allez avoir du mal à bien trouver la dalle voulue, vous allez pester contre le manque de réactivité des touches, contre la lenteur des actions qui vous empêche de rectifier le tir ou tout simplement sur l’absence de clarté des indications à l’écran. Rien de plus énervant que de voir trépasser un de vos hommes, ou pire, perdre la partie, tout simplement car ce n’était pas cette action que vous souhaitiez effectuer…

placement
Avant que l’assaut soit lancé et que l’action s’emballe, tout va bien : vos hommes sont parfaitement positionnés autour de leurs ennemis, attendant vos ordres pour leur pourfendre le crâne. Mais c’était sans compter sur une malencontreuse erreur de “visée” ou une carte placée au mauvais endroit qui viendra ruiner leurs efforts et annihiler votre mission...

 

Vous tromper de personnage, inverser la commande de déplacement d’un combattant avec celle pour diriger tout le groupe, ou encore mal viser les troupes ennemies au moment de lancer une bombe : vous y viendrez. En plein affrontement, ce genre de “couac” paraît inévitable tant la précision à la manette, pour un jeu de ce type, peut laisser à désirer. Mais en soi, c’est compréhensible, et mine de rien, c’est aussi à mettre au crédit (ou au débit…) de votre “skill”. Il ne tiendra qu’à vous de vous améliorer, de surpasser vos capacités cognitives et d’adopter des réflexes d’iguane pour annihiler toute opposition. Mais c’est plus râlant quand le souci vient du jeu, et notamment du manque de clarté/réactivité. Exemple avec la couleur du curseur qui, comme celle du cercle qui entoure le personnage sélectionné, est blanche… Pas pratique quand la grande majorité des environnements de Wartile se trouvent être recouverts de… neige !

blanc
Si “noir sur noir, il n’y a plus d’espoir”, alors “blanc sur blanc, on se casse les dents”...

 

misericorde
Si même le Totem du Futur nous dit que malgré nos actes de bonté on est condamné à arpenter la voie de la Miséricorde… On est pas dans la Merdheim !

 

Conclusion

Wartile est une bonne surprise. Par son gameplay original, par son univers, sa narration, et son lore respectueux du folklore viking, à base de Loki, de Thor et autres Alfheim. Par son aspect stratégique lui aussi original, qui oblige, pour triompher, à combiner des éléments de jeu de plateau (se déplacer avec ses figurines sur un dédale de dalles), de tactical en temps réel (se positionner en fonction de l’ennemi puis réagir à ses attaques continues), de jeu cartes (bien préparer son deck de cinq pour parer à tout éventualité le moment voulu) et de RPG (optimiser son escouade en équipant et améliorant à dessein chaque personnage pour que chacun soit utile en combat). Alors, même s’il est un peu court et qu’il manque de profondeur (la répétitivité peut être inhérente à ce type de jeu, tout comme la légèreté du scénario - même si l’univers s’y prêtait -, et la relative faible durée de vie est compensée par la rejouabilité et la présence de trois niveaux de difficulté), qu’il peut se montrer par moments peu lisible et brouillon, ce jeu vaut incontestablement le détour, surtout si vous êtes adeptes d’un des genres sus-cités.

hakon
Ha con ! Si je devais vous donner un seul conseil pour acheter ce jeu : faite-le pour le nom de ses protagonistes !

 

 

Verdict :

Les +

  • L’impression de se retrouver face à un (vrai) jeu de plateau
  • Les figurines et leurs animations
  • L’univers Viking
  • L’aspect stratégique
  • L’amélioration des personnages (armes équipements, jetons)
  • Le mélange des genres (plateau, tactical, cartes…)
  • Du challenge mais pas trop grâce aux 3 niveaux de difficulté par mission
  • Une certaine rejouabilité (voir ci-dessus)
  • Une quinzaine de niveaux en comptant le DLC

Les -

  • Pas toujours clair (indications blanches sur fond blanc)
  • Des décors peu variés
  • Répétitivité
  • Caméra pas entièrement libre : impossible de survoler tout le plateau
  • Attaques en temps réel souvent lentes
  • Déplacements souvent confus dans le feu de l’action
  • Une aventure principale assez courte (moins de 10h)
  • Scénario très peu intéressant

On aurait aimé :

Que le gameplay, plutôt original, soit plus réactif et plus péchu, qu’il y ait encore davantage de missions, que l’histoire soit mieux tenue et l’univers mieux exploité.

Dans le même genre :

Un mélange de jeux de stratégie en temps réel, de jeu de plateau et de cartes… Si vous trouvez faite-moi signe !

Graphismes :
Au lancement de chaque plateau, les graphismes semblent jolis, mais une fois la mission lancée, c’est assez baveux. Sur Switch en tout cas. La DA est plutôt réussie, mais très peu variée (on reste dans l’univers nordique avec ses étendues enneigées et ses terrains verdâtres).
6/10
Musique et sons :
La musique est discrète mais plutôt sympathique. Surtout, la voix du narrateur, signée d’un acteur principal de la série Vikings, est très agréable et donne vie à une histoire à côté de ça vraiment oubliable.
8/10
Gameplay :
Il est très original et plutôt intéressant, mêlant un déplacement dalle par dalle et personnage par personnage comme sur un jeu de plateau, avec des attaques en temps réel et des cartes à activer pour attribuer des bonus/malus. Problème, s’il vous appartient d’être réactif pour bouger vos figurines pour espérer dépasser l'adversaire, vous serez toujours ralenti par une mécanique de rechargement qui alourdit le jeu. Vraiment dommage.
7/10
Scénario et histoire :
Anecdotique. Hormis la voix du narrateur et quelques indications ingame, qui seront des clins d'œil à la mythologie viking, vous n’en retiendrez rien, ou pas grand chose. Dommage pour un titre qui a malgré tout des relents de RPG.
4/10
Durée de vie :
Vraiment légère pour ce type de jeu. Comptez 9-10h pour l’histoire principale, et environ un tiers pour le DLC, uniquement déblocable après en avoir fini avec la dizaine de missions originelles.
6/10
Rapport qualité / prix :
Pour 20€ sur Switch et sa “Complete Edition”, malgré la dizaine d’heures de durée de vie, c’est correct. Si vous êtes fan de tactical en temps réel, que vous aimez les jeux de plateau ou l’univers viking, ou les trois à la fois, cet achat peut valoir le coût.
7/10
Coup de coeur :
Sans pour autant être transcendé par Wartile, j’ai pris du plaisir à faire (et parfois refaire) ses différentes missions. J’ai aimé améliorer mes figurines, les voir s’animer et réfléchir auxquelles amener sur le champ de bataille et à comment les disposer avant de lancer tel ou tel assaut… Mais j’ai également pesté devant la mollesse du gameplay - qui m’avait pourtant séduit au début -, et face à l’opacité de certains objectifs. Dommage, avec un peu plus, Wartile aurait été encore mieux.
7/10
Total : 6.4/10

 

Nous remercions Deck 13 qui nous a fourni une copie de review du jeu

 

Merci pour votre lecture ! Coeur bleu

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